229 – L’âge d’or

Te souviens-tu de l’âge d’or

Quand tout semblait léger et simple

Aller de soi

Il n’y avait pas à demander de permission

Pour se parler

Les rires étaient légers

Rien de grave ne pouvait arriver

Tout ce qui s’écroulait alentour

Nous rapprochait

Et si le monde semblait mal fait

Rien n’avait vraiment d’importance

Nous faisions front je disais nous

Je croyais encore en quelque chose

Et j’y ai cru longtemps

C’était au mois de mai

Ils sont beaux les mois de mai

Un mois plus tard, tout s’écroulait

Je n’y pense pas sans pleurer

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retour en haut