La mort d’un disque dur

Je sais, je sais : il faut régulièrement sauvegarder ses données. Hier, mon disque dur est mort, semble-t-il de sa belle mort. Et j’ignore aujourd’hui ce que je pourrai sauver.
Evidemment, ça tombe très mal. Demain, j’assure une formation sur l’écriture Web au CFPJ, une belle formation de trois jours, et je me retrouve, avouons-le, un peu coincé… Ca ne va pas être facile.
Ce soir, je dois également m’occuper, normalement, du lancement de Grand-Rouen.com, qui doit être en état de marche demain matin. J’ai une newsletter à envoyer pour un client, et puis un article qui était écrit, mais pas sauvegardé en double, à envoyer à un hebdo…
Fichtre, tout cela est plus ou moins en plan.
La nuit promet d’être longue. Et je prends demain matin un train à 6h40 pour Paris.

Il y a des moments comme ça, où il faut savoir rester zen…

Sinon, ça va bien.

6 réflexions sur “La mort d’un disque dur”

  1. J’ai lu dans des magazines sérieux qu’en toute dernière extrémité, un disque dur quasi-mort mis sous plastique et placé une ou deux heures dans un congélateur (sic!) pouvait rendre un dernier soupir utile pour sauver qqs données. A tenter?

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