1er juillet
Il fait chaud, à Paris, comme sur la très grande majorité du territoire. Réchauffement auquel il faut se préparer. S’habituer. Et qui devrait, si nous étions collectivement raisonnables, être le souci principal de l’humanité qui préfère cependant se foutre sur la gueule, ou s’enrichir sur le dos de son voisin. L’un n’excluant pas l’autre. Et, toujours quelques uns quelques unes de bonne volonté tentent malgré tout de trouver une façon de se sortir de la fange. Rien à observer que d’autres ne commentent déjà. Alors j’écris. Je reprends depuis deux jours la totalité du livre en cours. Changement de narrateur. Phrase après phrase. Mot après mot. Et le sentiment que ça trouve son ton.