142 – Coups

La violence inouïe

Des coups portés

D’où il n’étaient pas censés

Pouvoir venir

Rester ko debout

Dans les ecchymoses et le sang

Chanceler

Résister

Les coups ne cessent pas

À terre à terre dernière chance

En boule au sol protégeant cœur et visage

Tuméfié choqué balafré

Dans un silence pire que les coups

Ne plus rien voir

Ni entendre

—-

Un goût de fer et de défaite

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retour en haut