Olivier Martinez presse le citron d’Eric, et puis aussi de quelques autres qui auraient laissé entendre, d’une façon ou d’une autre, des choses sur sa vie privée qui ne regarderaient que lui. Olivier Martinez, donc, poursuit les infâmes blogueurs, webmaster et autres relayeurs d’informations qui en auraient trop dit sur ses relations amoureuses. On n’en dira rien ici.
Mais on rappellera, à toutes fins utiles qu’on n’a pas le droit de dire des choses sur la vie privée des gens qui ne nous regardent pas. Et que pour autant, faudrait pas tomber dans la disproportion des dommages et intérêts sonnants et trébuchants à tout bout de champs.
Ici, comme dans bien d’autres domaines, ce serait pas mal de raison garder.
Disproportion certes… vu les demandes de cet acteur dont je ne connais que depuis 5 min le nom (depuis que j’ai lu ce post) il pourrait même s’agir de la simple envie de s’en foutre plein les fouilles sans aller voir plus loin genre : « J’étale ma vie privée à tout va… et je t’attaque parce que t’en parle » = jackpot.
Cela dit cela pose qd même la question de la responsabilité de publier sur internet. Publier, c’est-à-dire rendre public… ce qui est interdit quand il s’agit de la vie privée.
Les personnes publiant sur Internet n’ont pas plus le droit de s’affranchir de certaines règles élémentaires que les autres médias. Si la presse people se le permet, c’est malheureusement parcequ’elle gagne assez pour pouvoir payer les dommages et intérêt. Si un blogueur ne peut pas se permettre ce genre de frais… alors tant mieux, qu’il laisse ses infos à la con à la presse de merde (pour parler pas poliment)
Je crois que Google a corrigé son algorithme afin de minimiser l’impact des GoogleBomb. On va voir si ça marche ;-).