J'ai pensé que l'homme au gros pull roulé tricoté main à demi endormi dans le wagon surchauffé souffrait peut-être des portes-ouvertes enfoncées à grands coups de poncifs par les deux braillards en chemisettes assorties de la rangée du fond.
Carnet de notes, de partages et d’expérimentations. En ligne depuis 2004.
J'ai pensé que l'homme au gros pull roulé tricoté main à demi endormi dans le wagon surchauffé souffrait peut-être des portes-ouvertes enfoncées à grands coups de poncifs par les deux braillards en chemisettes assorties de la rangée du fond.