J'ai pensé que, petit à petit, on perdait en vieillissant la santé nécessaire à finir seul, jusqu'à l'os, une côte de boeuf de trois kilogrammes. Et qu'il faudrait rester jeune.
Carnet de notes, de partages et d’expérimentations. En ligne depuis 2004.
J'ai pensé que, petit à petit, on perdait en vieillissant la santé nécessaire à finir seul, jusqu'à l'os, une côte de boeuf de trois kilogrammes. Et qu'il faudrait rester jeune.