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Le zeugme de Robinson Crusoé

« Je retenais mon souffle, et je nageais de toutes mes forces. Mais j’étais près d’étouffer, faute de respiration, quand je me sentis remonter, et quand, à mon grand soulagement, ma tête et mes mains percèrent au-dessus de l’eau. Il me fut impossible de me maintenir ainsi plus de deux secondes, cependant cela me fit un bien extrême, en me redonnant de l’air et du courage. »

Daniel Defoe, Robinson Crusoé. Traduction de Petrus Borel. La Pléiade, Gallimard, page 64.

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