Toujours dans les chansons, le zeugme se niche, tranquille, à l'abri, au détour d'un refrain. On l'a croisé chez Gainsbourg, voilà longtemps, près du bac où la shampouineuse, un brin perverse, mais irrésistible, laisse couler le savon jusqu'aux yeux :
Je tombe sur cette chienne
Shampouineuse
Qui aussitôt m'aveugle par sa beauté païenne
Et ses mains savonneuses