J’ai pensé que

J'ai pensé que c'était elle.

J'ai pensé que l'expression correcte devait être "hurler avec les ânes"… ou alors est-ce "braire avec les loups" ?

J'ai pensé que de Danube à daube, il n'y a qu'une lettre d'écart, mais n'ai pas bien su quoi tirer de cette observation.

J’ai pensé que la cravate à pois sur la chemise à carreaux sous la veste à rayures jurait quelque peu avec le pantalon crème.

J’ai pensé que la superstition portait malheur. La preuve : je n’ai sûrement pas la chance d’avoir été le premier.

J’ai pensé que le mot portrait venait de port, et trait. Étymologie de mot-valise, qui trace le lien vers l’origine, d’où l’on vient, vers ou l’on va. De port en port. Trait pour trait.

J’ai pensé que certaines fois il n’y aurait aucun plaisir à donner son « j’ai pensé que » quotidien, juste une contrainte, un travail, une tâche, une répétition.

J’ai pensé que ce qui a changé en 30 ans n’est rien comparé à ce qui changera en 30 ans.

J’ai pensé que, ce jour-là, seuls ses proches parents et leurs amis ont pu s’attendrir de la naissance de Pierre Desproges. Étonnant, non ?

J’ai pensé que sur le bord des piscines étaient soit des naïades enchanteresses, soit des systèmes de protection pour éviter les accidents domestiques. Dans tous les cas, il s’agit d’empêcher le passage d’enfants de moins de cinq ans.