J’ai pensé que #167
J’ai pensé que faire semblant occupait au moins les trois quarts du temps des trois quarts des gens, la moitié du temps de la moitié des autres, et le quart du temps du quart des derniers.
J’ai pensé que #167 Lire la suite »
J’ai pensé que faire semblant occupait au moins les trois quarts du temps des trois quarts des gens, la moitié du temps de la moitié des autres, et le quart du temps du quart des derniers.
J’ai pensé que #167 Lire la suite »
J'ai pensé que les premiers de la classe ne l'avaient pas toujours.
J’ai pensé que #166 Lire la suite »
J'ai pensé que le début de la fin devait le plus proche possible de la fin du début. Mais pas l'inverse.
J’ai pensé que # 165 Lire la suite »
J'ai pensé que la vie est comme un saucisson dont on ne connait jamais l'épaisseur des tranches.
J’ai pensé que #164 Lire la suite »
J'ai pensé que le respect se perd, et pas toujours où on l'attend.
J’ai pensé que #163 Lire la suite »
J'ai pensé que sous la croûte de bitume se cachait le bitume précédent, et que, couche après couche, la rue remontait les étages, se hissait jusqu'au toit, faisait disparaître la ville.
J’ai pensé que #162 Lire la suite »
J'ai pensé que les autres n'étaient pas toujours l'enfer promis : quelques rubis se cachent parfois dans les braises.
J’ai pensé que #161 Lire la suite »
J'ai pensé que c'était après le fromage, ou une exposition au soleil mal maîtrisée, passer à l'orange. Littéralement.
J’ai pensé que #160 Lire la suite »
J'ai pensé que l'aphorisme quotidien, obligatoire et pertinent distinguait à coup sûr l'homme du cheval à bascule.
J’ai pensé que #159 Lire la suite »
J'ai pensé que celui qui avait dit : "qui ne dit mot consent" aurait mieux fait de se taire.
J’ai pensé que #158 Lire la suite »