J’ai pensé que #177
J'ai pensé que la pensée du soir ne valait pas toujours la pensée du matin.
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J'ai pensé que la pensée du soir ne valait pas toujours la pensée du matin.
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J'ai pensé que sans attaches, sans nostalgie, sans racines, sans mémoire, sans territoire où poser son barda, où le retrouver, où l'éparpiller, sans retour, sans antériorité, j'aurais fait une phrase plus courte.
J’ai pensé que #176 Lire la suite »
J'ai pensé que, sautant dans le vide, on arrivait à rien. Dans un premier temps.
J’ai pensé que #175 Lire la suite »
J'ai pensé que l'on ne m' y reprendrai pas, mais un peu tard.
J’ai pensé que #173 Lire la suite »
J'ai pensé que l'on pouvait être, et avoir l'été, trois mois.
J’ai pensé que #172 Lire la suite »
J'ai pensé que les photos avaient leur revanche : pendant longtemps, ce sont les mots qui ont eu un poids, maintenant, elles ont le leur, en octets.
J’ai pensé que #171 Lire la suite »
J'ai pensé que, le lendemain, on oubliait la plupart des appels de la veille.
J’ai pensé que #170 Lire la suite »
J'ai pensé que l'écran était à la fois ce qui montre et ce qui cache, de fumée ou en 16/9ème.
J’ai pensé que #169 Lire la suite »
J'ai pensé que rien ne ressemblait plus à une autoroute à l'aller qu'une autoroute au retour.
J’ai pensé que #168 Lire la suite »