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Ecrire pour le Web

Légendes photos : la leçon de Pierre Desproges

La (re)lecture du Dictionnaire superflu à l’usage de l’élite et des biens nantis de Pierre Desproges est toujours un plaisir. De l’esprit, de l’humour noir, de la provocation, et de l’absurde, beaucoup d’absurde. L’ouvrage à raison d’une entrée par lettre de l’alphabet singe un vrai dictionnaire. D’abord les noms communs, puis un intermède de locutions […]

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Vous n’allez pas revenir de l’article qui a ce titre à la con…

C’est un titre pour les réseaux sociaux. Un titre piège à clic, un de ceux qui ne disent rien, rien d’autre que le fait que vous allez avoir une surprise, et une sacrée surprise, si vous cliquez dessus sur Facebook, ou sur Twitter, ou ailleurs. Vous n’allez pas en revenir. On fait une promesse au

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Ecrire trop vite

Ecrire trop vite ? C'est un des principaux défauts de qui écrit pour le web. Et le résultat ? Des phrases incompréhensibles, qui disent parfois le contraire de ce qu'on aurait voulu écrire. Comme pour les rhumes, personne n'est à l'abri… La preuve avec ce court extrait d'un article lu sur la version suisse de

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Les amourettes et la cervelle

"Quand vous citez un texte con, n’oubliez pas le contexte." (Prévert) Il me fallait un bon exemple, pour souligner que, hors contexte, on pouvait aisément se fourvoyer dans la compréhension d’une phrase. Et la phrase, je l’ai : “Les amourettes peuvent très honorablement remplacer la cervelle.” Une phrase amusante sur l’amour qui rend bête ?

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Etude de titre

Soit un titre raté, voyons pourquoi. "Rafael Nadal est, définitivement, de plus en plus seul sur terre". On est à deux doigts d’un bon titre, à deux doigts seulement. Voyons, d’abord, ce qu’il conviendrait de retirer. Le verbe "est", un verbe faible, qui n’apporte rien : "viré !" "définitivement", et bien, non, rien de définitif,

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