La valse des zeugmes
Dans son conte La Valse, Alphonse Allais livre un beau zeugme : « Tout à coup je fus tiré de ma torpeur par une petite main finement gantée qui s’avançait vers moi, et une voix fraîche qui disait: —Comment, te voilà, grande gouape! Je levai les yeux. » L’occasion d’en citer un faux, du même auteur, d’un …