Abonnez-vous à la lettre d'information

Chaque mois, cinq idées pour améliorer votre créativité éditoriale

25 octobre – Hilaire

Là, on va rire, et pas qu’un peut. Des araignées à boulotter, des tarentules à grignoter, patte après patte. Ah, ah ! On va voir ce qu’on va voir, et les plus craintifs s’enfuiront en courant, en hurlant, en agitant les bras comme si personne jamais n’avait mangé de mygale cuite au feu de bois, et que ça croque, mais délicieux comme du crabe, qu’il parait, et qu’on n’a parfois que ça à se mettre sous la dent avec un peu de piment lorsque les réserves sont vides. Alors, de fausses araignées sucrées, gros bonbons fondants pour jouer comme les enfants du Vénézuela font dans la forêt, délogeant leur repas de sous les troncs et évitant les crochets et les poils urticants pour des gueuletons dont ils se régalent. Et pas sûr que les plus mauvaises pour la santé soient celles de la forêt, dira le dentiste attentionné.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retour en haut