J’ai pensé que

J'ai pensé que le jeu de mot n'était jamais trop facile (flottante). – Vraiment ?

J'ai pensé que tout cela n'était pas très sérieux. Sauf le baron. Et encore, à demi.

J'ai pensé que la pensée fugitive courait plus vite que le fugitif pansé.

J'ai pensé que tout avait une fin, sauf la banane, qui la coupe.

J'ai pensé que la suite pouvait être ce qui précédait, mathématiquement.

J'ai pensé que la méthode valais mieux que le résultat, puis l'inverse. Selon le résultat.

J'ai pensé que la sonnette sans son serpent n'en était pas moins dangereuse, et j'entrais sans frapper.

J'ai pensé que, comme tous les Prix Nobel sont attribués à Oslo, vous seriez bien inspiré de donner ce prénom à votre enfant.

J'ai pensé que  mon emploi du temps se confondait parfois avec l'emploi de l'imparfait, du passé simple, voire du futur antérieur ou du conditionnel.

J'ai pensé que l'archiduchesse aurait pu porter des bas… Des chaussettes ? Non, mais vraiment…