Site icon Sébastien Bailly

142 – Coups

La violence inouïe

Des coups portés

D’où il n’étaient pas censés

Pouvoir venir

Rester ko debout

Dans les ecchymoses et le sang

Chanceler

Résister

Les coups ne cessent pas

À terre à terre dernière chance

En boule au sol protégeant cœur et visage

Tuméfié choqué balafré

Dans un silence pire que les coups

Ne plus rien voir

Ni entendre

—-

Un goût de fer et de défaite

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