Site icon Sébastien Bailly

Télérama

TlramaPendant deux ans et demi, de 2000 à 2002, j’ai écris très régulièrement des articles pour Télérama, dans une rubrique aujourd’hui disparue, consacrée au multimédia. J’ai alors trouvé chez Gérard Pangon, qui en avait la responsabilité, une qualité d’écoute et un professionalisme que je n’ai jamais observé dans une autre rédaction.
J’y ai commis, finalement, des articles sur des sujets d’une diversité qui avait tout, alors, pour me séduire. On en trouve encore quelques exemples en ligne, , ou . Du fermier qui vendait ses canards sur Internet aux sites recensant les avis de consommateurs, de la fabuleuse histoire d’Adi aux logiciels de correction orthographique… Finalement, je crois me souvenir que peu de mes propositions ont été rejetées.
C’est vrai que je suis particulièrement fier d’avoir collaboré à ce journal là. J’y ai fait le reportage le plus émouvant de ma carrière de journaliste, dans un service de cancérologie pédiatrique. Curieusement, en regardant ce qui restait de mes articles pour Télérama sur le Web, je suis tombé dessus, dans une forme un particulière, puisqu’il a servi de sujet lors d’un concours. Comme c’est un document Word, je l’ai téléchargé ici.
Fin 2003, mon dernier article pour Télérama (après un long silence) aura été sur La Disparition de Perec. Cela aura été aussi mon dernier article en tant que journaliste, signé de mon nom. La Disparition, pour clore, même provisoirement, une série, c’était un bon choix, me semble-t-il…
Choix qui me valut, pour l’anecdote, d’être cité à la rime d’un sonnet de Patrick Flandrin. Vous pourrez lire les explications sous le poème pour tout comprendre.

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