Tout est déjà dans L’Ile au trésor

Les Essais sur l’Art de la fiction, de Robert Louis Stevenson
constituent une lecture indispensable à tout homme qui voudrait un jour
écrire des histoires. Cette série d’articles, plus ou moins longs, vaut
réellement le coup d’oeil, et de l’attention. Rien que pour cela,
Stevenson mérite le respect. Qu’est-ce que raconter une histoire ?
Comment doit-on s’y prendre ? Qu’est-ce que le lecteur attend ? Les
conseils qu’il donne n’ont pas pris une ride, et sont sans doute encore
appliqués par les auteurs de best-sellers. Cela vaudrait une étude
approfondie. 443 pages denses, que je lis sur la durée (le livre est
dans une maison où je passe quelques week-end et semaines par an…).
Je ne peux que vous conseiller de vous de vous plonger dans « Les
remarques les plus intelligentes jamais écrites sur la littérature »
(Nabokov). William James en disait : « Je crois qu’on n’a jamais rien
écrit de plus beau et de plus profond ». « Quant à moi, je place
au-dessus de tout un chapitre sur les rêves », répondait Borges. Cliquez là si cela vous intéresse. (notez que les commentaires d’Amazon n’ont rien à voir avec le contenu du livre…)
Si Stevenson apparaît ici, c’est parce que Captain Doc vient d’y
consacrer un article passionnant, et plus particulièrement au roman L’île au trésor. Ainsi, selon le Captain :

il est permis de voir dans cet ouvrage une sorte de traité
de la sérendipité. C’est en désobéissant aux ordres, et sans trop
savoir ce qu’il fait, que le héros entre en possession de la carte,
puis du trésor, enfin du navire qui permettra de le rapporter.

Comme il le dit, le Captain lit le livre « en captain, et ne peut y voir
autre chose qu’une représentation de la Recherche au sens le plus
général, le Trésor figurant l’objet X à découvrir, la Carte, la
documentation qui permet de le localiser, et le navire, le moyen d’y
accéder et de le remporter. Trois objets de convoitise, autour desquels
gravitent toute une galerie des personnages. » Pour lire ce petit
article fort intéressant, c’est ici. Et pour lire rapidement L’Ile au trésor, c’est là.
N’y manquez pas !

3 réflexions sur “Tout est déjà dans L’Ile au trésor”

  1. Bonjour de Saint-Brieuc ,
    Je vous informe de la parution de mon nouveau livre, un roman inspiré de  » L’île au trésor  » de Stevenson…
    JIM HAWKINS GENTLEMAN CORSAIRE
    Jim Hawkins a retrouvé le trésor du capitaine Flint sur l’île de la Tortue, dans la mer des Caraïbes. Il fait alors construire à Bristol une magnifique goélette, un navire maniable et rapide, qui peut rivaliser avec les meilleurs bâtiments de commerce. C’est l’époque où les colonies américaines se révoltent contre l’Angleterre. Le Mathilda de Jim Hawkins reçoit sa lettre de marque et doit mettre à la voile pour la guerre de course, au large des côtes de Bretagne. Il s’agit de bloquer la navigation des vaisseaux français et de leurs alliés, de les capturer et de revendre les prises sur le sol anglais. Le corsaire mène une course effrénée, ramène de nombreux trophées, tout en respectant son adversaire. Au fil des années, des rencontres et des conquêtes féminines, le jeune homme découvre, avec horreur, le commerce du « bois d’ébène », les ravages de l’esclavagisme, la richesse écrasante d’armateurs et de propriétaires terriens anglais aux Amériques. Jim Hawkins s’engage dans la lutte contre la traite des esclaves…
    Nombre de pages: 240
    Prix: € 21,00
    « Un livre qui ravira tous les amateurs d’aventures et d’histoire maritime ; des ados aux plus âgés…
    livre paru aux éditions La Découvrance
    Code ISBN 978-2-84265-532-7
    Disponible dans toutes les bonnes librairies…

  2. Bonjour de Saint-Brieuc ,
    Je vous informe de la parution de mon nouveau livre, un roman inspiré de  » L’île au trésor  » de Stevenson…
    JIM HAWKINS GENTLEMAN CORSAIRE
    Jim Hawkins a retrouvé le trésor du capitaine Flint sur l’île de la Tortue, dans la mer des Caraïbes. Il fait alors construire à Bristol une magnifique goélette, un navire maniable et rapide, qui peut rivaliser avec les meilleurs bâtiments de commerce. C’est l’époque où les colonies américaines se révoltent contre l’Angleterre. Le Mathilda de Jim Hawkins reçoit sa lettre de marque et doit mettre à la voile pour la guerre de course, au large des côtes de Bretagne. Il s’agit de bloquer la navigation des vaisseaux français et de leurs alliés, de les capturer et de revendre les prises sur le sol anglais. Le corsaire mène une course effrénée, ramène de nombreux trophées, tout en respectant son adversaire. Au fil des années, des rencontres et des conquêtes féminines, le jeune homme découvre, avec horreur, le commerce du « bois d’ébène », les ravages de l’esclavagisme, la richesse écrasante d’armateurs et de propriétaires terriens anglais aux Amériques. Jim Hawkins s’engage dans la lutte contre la traite des esclaves…
    Nombre de pages: 240
    Prix: € 21,00
    « Un livre qui ravira tous les amateurs d’aventures et d’histoire maritime ; des ados aux plus âgés…
    livre paru aux éditions La Découvrance
    Code ISBN 978-2-84265-532-7
    Disponible dans toutes les bonnes librairies…

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